Connect with us
img

Hot News in World

« Nous ne pouvons pas nous taire lorsque le terrorisme abuse de la religion »

« Nous ne pouvons pas nous taire lorsque le terrorisme abuse de la religion »

NOUVELLES

« Nous ne pouvons pas nous taire lorsque le terrorisme abuse de la religion »

[ad_1]

⇒ 13 h 15 [TWEET] : Traversée de BagdadAprès son reportage à Ur pour la rencontre interreligieuse, notre envoyé spécial se rend à Bagdad où a lieu la messe à la cathédrale latine Saint-Joseph à 16 h, heure française. Traversée à grande vitesse d’une Bagdad fantomatique, vidée de ses habitants par un confinement très strict. Sur la droite, régulièrement, des militaires membres des unités d’élite de l’armée irakienne pic.twitter.com/Gsng6XS2b9— LB2S (@LB2S) March 6, 2021 ⇒ 13 h 05 [TWEET] La modeste demeure du grand ayatollahEn réaction à la rencontre d’Ali al-Sistani avec le pape, un chiite de Bagdad rappelle sur Whatsapp, que le grand ayatollah vit avec sa famille – il est marié et père de deux enfants – dans cette maison de Najaf où il a reçu le pape : « depuis 1970, une maison qu’il loue à un membre de la famille Al-Shubar pour un loyer d’environ 500 dollars par mois ». Le grand Ayatollah Ali al-Sistani et le pape François à Najaf, le 6 mars 2021.  / Vatican Media/AP Il souligne aussi qu’Ali al-Sistani « est l’une des rares personnalités au monde à ne rendre visite à personne, en raison de son rang, de sa popularité et de son influence. Sistani, comme ses prédécesseurs restent chez eux pendant de longues années et ne sortent que très rarement, pour des soins notamment ».⇒ 12 h 40 [TWEET] Le Coran chanté sur la plaine d’UrVoici un extrait du Coran qui a été chanté lors de la rencontre interreligieuse à Ur. Le chantre était un «hafez-el-Qoran», considéré par les musulmans comme un sage en raison de sa connaissance complète et par cœur du Coran. ⇒ 12 h 35 [TWEET] Les jeunes chiites saluent la rencontre entre Ali al-Sistani et le pape FrançoisLa rencontre entre le pape François et le grand ayatollah Ali al-Sistani nourrit de nombreux échanges entres Irakiens, notamment chiites, sur les réseaux sociaux. Le mot-dièse « Sistani » est dans les tendances de Twitter.Les jeunes chiites qui manifestent depuis des mois dans les villes du Sud pour demander des emplois et des services publics et la fin de la corruption saluent les échanges entre le pape François et al-Sistani : « Nous sommes d’accord en tant que membres de la société civile avec la nécessité d’éveiller l’esprit de citoyenneté, de rejeter la division et le conflit, de ne dénigrer aucune composante de la société ni de diviser ses membres en citoyens de première ou deuxième classe ».⇒ 12 h 25 [TWEET] « La preuve qu’ils en sont capables » «Certaines rues ont été pavées, d’autres nettoyées et peintes, des bâtiments ont été restaurés, des jardins publics plantés, des fontaines activées et des lampadaires changés, tout ça en seulement deux semaines. La preuve qu’ils en sont capables.» #IronieIrakienne #PopeInIraq https://t.co/zmRY4gOcul— AB Hoffner (@abhoffner) March 6, 2021 ⇒ 12 h [TEMOIGNAGE] « Toute personne qui vient en Irak et qui veut faire le bien, cela nous rend heureux » (Ali Saasi)Ali Saadi, chabak (minorité musulmane proche du chiisme) de Karamless, dans la plaine de Ninive, est un étudiant de 24 ans : « Toute personne qui vient en Irak et qui veut faire le bien, cela nous rend heureux. Mais quand je vois tous les travaux de voirie entrepris à Karakoch pour cette visite du pape, je me dis que le gouvernement irakien devrait faire la même chose tous les jours, et pas seulement pour cet événement exceptionnel. L’Irak ne manque pas d’argent, mais il est entre de mauvaises mains ! La corruption de nos dirigeants me met en colère. Quant à la rencontre du pape avec l’ayatollah Sistani, je n’en attends pas grand-chose : même si ces deux hommes se parlent, nous n’en tirerons aucun bénéfice. Au-delà des paroles, nous, les Irakiens, avons besoin d’actes concrets. »→ À LIRE. En Irak, l’appel du pape François contre la « plaie de la corruption »⇒ 11h 45 [TWEET] Le pape François prie pour « la Syrie martyrisée » La #paix n’exige ni vainqueurs ni vaincus, mais des frères et soeurs, qui, malgré les blessures du passé, cheminent du conflit à l’unité. Demandons-le dans la prière pour tout le Moyen-Orient, en particulier pour la Syrie martyrisée. #VoyageApostolique #Irak.— Pape François (@Pontifex_fr) March 6, 2021 → DOCUMENT. Pape François en Irak : le texte de la « prière des enfants d’Abraham »⇒ 11 h 15 [REPORTAGE] L’appel du pape à la fraternitéLors de la rencontre interreligieuse dans la plaine d’Ur, sur les pas d’Abraham, le pape François a, dans un discours très fort, appelé à préserver la fraternité et à « espérer contre toute espérance ». « D’où le chemin de la paix peut-il commencer ? », a interrogé François, sous une tente dressée au beau milieu du désert balayé par le vent….→ REPORTAGE. Voyage en Irak : le pape lance un puissant appel à la fraternité sur la terre d’Abraham→ DOCUMENT. François sur le site d’Ur, en Irak : l’intégralité du discours du pape aux religions A revoir sur KTO TV10 h 40 [REPORTAGE] Quelles sont les minorités religieuses irakiennes ?Sur le site antique d’Ur, le pape rencontre les représentants des traditions religieuses irakiennes. Une kyrielle de minorités, souvent méconnues en Occident, peinent à faire respecter leurs droits, quand elles ne sont pas persécutées.→ REPORTAGE. Voyage du pape en Irak : yézidis, kakaïs, mandéens, des minorités méconnues Après un discours très fort (papier à venir sur le site de La Croix), photo finale pic.twitter.com/wRgs0YlMTm— LB2S (@LB2S) March 6, 2021 ⇒ 10 h 15 [REPORTAGE] Dans la plaine d’Ur« Tout cela est magnifique et très émouvant », raconte notre envoyé spécial Loup Besmond de Senneville. Un passage du coran a d’abord résonné dans le désert, suivi du chant d’un prêtre sur le passage de la Genèse, où Dieu appelle Abraham dans la plaine d’Ur. Seul le bruit des pâles des deux hélicoptères militaires survolant la zone altère la quiétude de cette rencontre interreligieuse. Un passage du Coran résonne autour de nous pic.twitter.com/Ij86oGzoOJ— LB2S (@LB2S) March 6, 2021 ⇒ 10 h [TEMOIGNAGE] « La coexistence, nous la connaîtrons à nouveau » (Didier Adamat) Dilan Adamat, 30 ans, est chrétien chaldéen d’Erbil, animateur d’une émission de radio sur la station locale Babylon FM : « Cette visite d’un pape en Irak va être un moment historique ! Je tiens à y participer, et à m’impliquer comme bénévole. Même si j’ai moi-même grandi en France avant de revenir à Erbil en 2019, je doute que le pape appelle explicitement au retour des Irakiens dans leur pays. Ce type de discours, tenu aussi par nos Églises, agace parfois les Irakiens qui peuvent trouver leurs conditions de vie difficiles. J’attends du pape un discours de fraternité, car je sais que l’Irak a le potentiel pour reconstruire le vivre-ensemble. La coexistence, nous l’avons connue par le passé, et nous la connaîtrons à nouveau ! »⇒ 9 h 45 [EVENEMENT] : La rencontre du pape avec les représentants des différentes religionsLe pape François a choisi l’antique site d’Ur, dans le sud de l’Irak, considéré comme la patrie d’Abraham, pour rencontrer les représentants des traditions religieuses irakiennes : des traditions les plus antiques comme le yézidisme, aux plus récentes comme le bahaïsme, en passant par tous ceux, juifs, chrétiens et musulmans, qui se reconnaissent comme « enfants d’Abraham ». Alors qu’un prêtre chante un passage du livre de la Genèse, celui où Dieu appelle Abraham dans la plaine d’Ur, deux lourds hélicoptères militaires, qui nous survolent, mêlent le son de leurs pales au chant en arabe.— LB2S (@LB2S) March 6, 2021 → EXPLICATION. Voyage du pape en Irak : les ruines d’Ur, un trésor pour l’humanité⇒ 9 h 20 [REPORTAGE] :Une rencontre déjà historique entre le pape François et l’ayatollah Ali al-Sistani« La discussion a tourné autour des grands défis auxquels l’humanité est confrontée, du rôle de la foi en Dieu tout-puissant, de ses messages, et des valeurs morales élevées pour les surmonter », indique un communiqué de la marjaiyya de Nadjaf – l’institution religieuse entourant Ali al-Sistani – à l’issue de la rencontre entre l’ayathollah Ali al-Sistani et le pape. Le reportage de notre envoyé spécial :→ REPORTAGE. À Nadjaf, une rencontre déjà historique entre le pape François et l’ayatollah Ali Al Sistani⇒ 9 h [TEMOIGNAGE] : « Je ne peux pas imaginer la rencontre du pape avec Sistani »Menna Allah Jawad, 22 ans, est étudiante en marketing à Bagdad. Au début, je ne croyais pas que le pape viendrait en Irak, ce n’est pas quelque chose qu’on aurait imaginé. Et je ne peux pas non plus imaginer sa rencontre avec Sistani : on ne voit jamais ce haut responsable religieux, nous entendons juste parler de lui. Et personnellement je n’attends rien de cette visite. Je ne pense pas qu’elle impactera la communauté musulmane. J’ai grandi dans une famille sunnite du côté de ma mère et chiite du côté de mon père. Ma famille n’est pas particulièrement religieuse, mais ils observent les traditions, comme le jeûne et la prière. Sunnite ou chiite, je ne trouve pas que cela fait une grande différence dans nos vies ici en Irak aujourd’hui, de toute façon les musulmans sont la majorité dans le pays. »⇒ 8 h 45 [TEMOIGNAGE] : « Au-delà de notre credo, nous sommes tous humains et donc égaux » (Ines Mousa)Inas Mousa, 27 ans, est cheffe de produit dans une entreprise pharmacologique à Bagdad. « Je suis heureuse que le pape vienne en Irak, il fait preuve de tellement de compassion. Pour moi, sa rencontre avec l’ayatollah Sistani représente celle entre deux pôles religieux, même si en tant que personnes, il n’y a pas de différences entre eux. Dans l’islam, nous disons, « les gens sont de deux types, soit un frère dans ta religion, soit quelqu’un qui te ressemble ». Cela signifie qu’au-delà de notre credo, nous sommes tous humains et donc égaux. Le pape et l’ayatollah Sistani parleront de religion et trouveront des points en communs entre les leurs. Je ne crois pas qu’il y aura un changement concret qui s’ensuivra. Pour moi cette rencontre est avant tout un symbole important. Je suis originaire d’une famille chiite mais dans ma vie, la religion n’a pas une place encore bien définie. Je ne me considère pas comme croyante, mais cela pourrait évoluer. Ma famille me déteste pour cela… alors j’ai épousé un kurde ! »⇒ 8 h 30 [RENCONTRE] Le pape François et l’ayatollah Ali Al Sistani, une entrevue de 50 minutesFrançois est le premier pape à rencontrer l’ayatollah Ali Al Sistani, l’une des plus grandes figures du monde chiite. Les deux hommes, qui avaient prévu de se voir pendant 30 minutes, ont finalement consacré 50 minutes à leur rencontre. L’ayatollah, âgé de 90 ans, est l’un des hommes les plus influents d’Irak. « Les chrétiens d’Irak doivent vivre en paix », a déclaré au pape l’ayathollah Ali Al Sistani, selon le communiqué adressé à l’AFP. Déclaration de la marjaiyya de Najaf : «Au cours de la rencontre, la discussion a tourné autour des grands défis auxquels l’humanité est confrontée, du rôle de la foi en Dieu tout-puissant et de ses messages, et des valeurs morales élevées pour les surmonter.» #PopeInIraq https://t.co/q5W0PjezHu— AB Hoffner (@abhoffner) March 6, 2021 → EXPLICATION. Entre le pape François et l’ayatollah Sistani, une rencontre symbolique pour les chrétiens et les chiites⇒ 8 h 15 [PROGRAMME] Quelles sont les étapes de cette deuxième journée du pape François en Irak ?Le pape François a quitté Bagdad pour se rendre à Nadjaf. À 7 heures, heure française, (9 heures, heure locale) il a rencontré le grand ayatollah chiite, Ali Al Sistani. Deux heures plus tard, le pape arrivera à Nassiriya, près des ruines de l’ancienne ville d’Ur, pour participer à une rencontre interreligieuse avec les représentants de la mosaïque religieuse irakienne : des traditions les plus antiques comme le yézidisme, aux plus récentes comme le bahaïsme, en passant par tous ceux, juifs, chrétiens et musulmans, qui se reconnaissent comme « enfants d’Abraham ». De retour à Bagdad en début d’après-midi, il célébrera la messe dans la cathédrale chaldéenne Saint-Joseph.⇒ 8 h 00 [LE RÉCAP’] La première journée du pape en Irak, vendredi 5 marsArrivé à Bagdad en fin de matinée, le pape a commencé son voyage par un discours devant les autorités, la société civile et le corps diplomatique, au palais présidentiel de Bagdad. Il les a appelé à défendre une société apaisée et à une coexistence pacifique dans un pays rongé par les divisions ethniques et religieuses. « La diversité religieuse, culturelle et ethnique, qui a caractérisé la société irakienne pendant des millénaires, est une précieuse ressource dans laquelle puiser, non pas un obstacle à éliminer », a insisté François.→ REPORTAGE. En Irak, l’appel du pape François contre la « plaie de la corruption »En début d’après midi, il s’est rendu à la cathédrale syriaque catholique de Bagdad pour rencontrer le clergé, des religieux, des religieuses et des catéchistes. Il les a encouragés à ne pas se laisser gagner par « le virus du découragement » à l’heure où beaucoup ont choisi de quitter leur pays, en raison des persécutions, tout en résistant à la tentation de la division entre catholiques.→ REPORTAGE. Irak : à la cathédrale des martyrs de Bagdad, les encouragements du pape à la petite minorité catholiqueBienvenue dans ce direct consacré à la deuxième journée du voyage du pape François en Irak.

[ad_2]

Ссылка на источник

Continue Reading
You may also like...
Click to comment

Leave a Reply

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

More in NOUVELLES

To Top
error: Content is protected !!